Dossier de presse
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Titre : Les grands espoirs sous la lune
Auteur : Arthur constance
Editeur : Edition Acey
Rayon / genre : recueil de nouvelles, littérature blanche
Formats A5
ISBN : 978-2-9574978-0-5
Prix : 12,50€
Nombre de pages : 172
En vente sur www.arthurconstance.com
Formats 6x9
ISBN : 978-2-9574978-1-2
Prix : 15,50€
Nombre de pages : 158
En vente sur Amazon
Puisqu’il ne reste que le vide,
l’absence,
l’abandon…
Nous, barbares, enfants de vestiges, perdus, nous nous proclamons architectes.
Héritiers de ruines, les souvenirs et les reliques, perles et diamants, inspireront nos gestes sauvages.
Nous tenterons, qu’importe le chef d’œuvre, au diable la perfection. Écrivons, dessinons, sculptons… Créons !
Nous sommes seuls, autodidactes. Les grands sont morts, emportés par le temps et l’oubli. Plus personne pour imposer et pour maudire.
Je m’appelle Arthur Constance, ma plume est barbare, et j’ai écrit.
De quoi parle le livre ?
Les grands espoirs sous la lune est un recueil de nouvelles, en grande partie inspirées de faits réels, vécus, lus ou vus ; je pourrai citer, entre autres, le regard vide d’une SDF qui s’effondre à mes pieds sur la jetée de Toulon, le suicide d’un couple de retraités dans l’impossibilité de payer leur loyer (relaté dans la presse), ou le combat aérien d’un pilote de Rafale, dont la vidéo a été rendue publique par l’Armée de l’air.
Les grands espoirs sous la lune est un livre sur notre époque, il tire le portrait d’une partie de la génération « milenials », ses réussites, ses échecs et surtout, ses doutes. Le livre aborde énormément de domaines traités avec minutie et soin du détail (aviation de combat, pêche, traversée du Cameroun…).
Comment est-il construit ?
Les grands espoirs sous la lune s’articule autour de huit nouvelles. Elles ont été écrites indépendamment les unes des autres, parfois à plusieurs années d’intervalles. On peut toutefois remarquer des similitudes, les textes dialoguent, se répondent les uns les autres. Parfois, un lecteur pense retrouver un personnage, ce n’était pas prévu à l’écriture, mais au final c’est assez amusant.
Pourquoi avoir placé des extraits d’autres livres avant chaque nouvelle ?
Je les ai choisis pour qu’ils éclairent les nouvelles sous un autre jour. Parfois ils donnent un indice sur la chute (Il est des heures), ou apportent une clef de compréhension (Malheur au vainqueur). Ce sont des textes qui m’ont marqué et inspiré, je pense en particulier à Voyage au bout de la nuit, dont la première nouvelle est très inspirée. Extension du domaine de la lutte m’a aussi beaucoup influencé, je pense qu’on retrouve un peu de l’univers de ce livre dans le recueil.
C’est aussi le cas du titre ?
Oui le titre vient d’un livre de Bernanos : Les grands cimetières sous la lune. C’est essentiellement l’image qu’évoque ce titre qui m’a inspiré (je ne connais du pamphlet que la fiche Wikipédia), mais je trouve que cela correspond bien à l’atmosphère du recueil.
L’inspiration est aussi venue des paysages et de la lumière du sud.
Comment est née l’idée de ce livre ?
C’est étrange, je m’étais toujours tenu à l’écart de l’écriture, et plus généralement de la littérature, car je faisait énormément de fautes. J’ai commencé à aimer écrire après le bac, d’abord en rédigeant un scénario (probablement l’objet littéraire le moins littéraire), puis une nouvelle. Là, ça a été une sorte de révélation, devant ma feuille j’avais l’impression d’être à ma place. J’ai écrit d’autres nouvelles, puis j’ai décidé de travailler sur un recueil.
Combien de temps a pris l’écriture ?
J’ai écrit les deux premières nouvelles en 2017 et 2018, mais l’idée d’écrire un recueil m’est venue plus tard. J’ai commencé à y travailler au mois de novembre 2019 et j’ai reçu les premiers exemplaires au mois de janvier 2021. L’écriture en elle même a duré dix mois, ensuite j’ai fais lire le livre à des Bêta lecteurs, apporté des corrections, puis je l’ai envoyé à un correcteur professionnel.
En me lançant dans ce projet, je pensais terminer au mois de novembre. J’ai sous-estimé le travail nécessaire après l’écriture, et surtout, je n’ai pas su anticiper les imprévus (un Bêta lecteur non disponible, les délais de travail des freelances, la saturation de l’imprimerie…). Sur le coup j’ai été embêté, j’avais réussi à tenir mon planning de travail (établi un an à l’avance) et toute cette planification est tombée à l’eau.
C’est un premier livre ?
C’est mon premier livre de fiction, oui. J’avais aussi écrit des scénarios et participé à la rédaction d’un livre théorique, mais les scénarios n’ont jamais été publiés et je ne me suis pas occupé de la distribution du livre de non-fiction. Les grands espoirs sous la lune est le premier projet où je gère la totalité du processus de production ; de l’écriture à l’envoi par la poste.